La jeune marque, spécialisée dans les bijoux en argent et larimar, continue à se développer, notamment à l’international. Elle propose également, depuis peu, des produits en or.
Par Romain Rivière
Depuis sa création, il y a quelques années, par Lionel Corvisier et Florence Perissinotto, Blue Stone connaît un développement constant. Désormais, cette jeune marque, spécialisée dans les bijoux en argent et larimar, s’étend en Europe, notamment en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche. Déjà présente sur les salons Inhorgenta, elle sera également exposante, pour la première fois cette année, au salon munichois Gemworld. Là, Blue Stone entend y renforcer son réseau qui compte déjà, en France, plus de 200 points de vente.
Sur le marché de la bijouterie fantaisie, Blue Stone est une marque à part. En effet, elle est l’une des rares à savoir utiliser et tailler le larimar, cette pierre fine d’une grande rareté, constituant une variété de pectolite et découverte dans les années 70 en République Dominicaine. « On ne trouve le larimar que là-bas », assure Lionel Corvisier, ajoutant qu’il s’agit d’une pierre « non seulement compliquée à tailler, mais aussi à extraire. » A ce jour, la marque revendique une collection totalisant près de 450 références, la plupart à base d’argent. Mais, depuis quelques temps, Blue Stone propose des produits en or, ou agrémentés de perles de Tahiti ou de différentes pierres fines : de cette manière, elle souhaite proposer au détaillant traditionnel, parfois frileux en matière de bijouterie fantaisie, une offre alternative et originale. « A l’occasion du dernier Bijorhca, en septembre, nous avons présenté une offre dont près de la moitié était constituée de nouveautés », se félicite le fondateur.
