Parmi ses différentes missions, le Natural Diamond Council est chargé de protéger le consommateur du marketing trompeur des diamants synthétiques, détériorant leur confiance envers le secteur. Dans ce cadre, l’organisation mondiale à but non lucratif a déposé une plainte auprès de l’organisme de surveillance de la publicité au Royaume-Uni – l’Advertising Standards Authority (ASA) –. Le but ? Mettre en évidence une terminologie, utilisée par quatre détaillants britanniques, qu’elle estime mensongère. L’ASA a retenu la plainte contre Skydiamond pour commercialisation et publicité frauduleuse de diamants synthétiques. Cette condamnation témoigne d’une approche internationale de la protection des consommateurs qui s’appuie sur le décret français du 14 janvier 2022.
Condamnation
La décision stipule que Skydiamond ne peut pas utiliser les termes « diamants« , « diamants entièrement fabriqués à partir du ciel » et « Skydiamond » pour décrire ses diamants de synthèse sans les accompagner d’un qualificatif clair et bien visible. L’ASA a également demandé à Skydiamond « de ne pas utiliser l’allégation « vrais diamants » pour nommer des « diamants synthétiques ».
Une décision conforme au décret français
Cette décision est conforme au renouvellement du décret français et aux observations des infractions constatées par la DGCCRF. Ainsi, elle témoigne d’une approche internationale de la protection des consommateurs et de la lutte contre les informations erronées. Pour en savoir plus sur cette affaire et sur trois autres affaires impliquant Stephen Webster, Lark & Berry et Idyl, cliquez ici. Lien vers la décision complète de l’ASA ici.
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